La sculpture du sculpteur Français Joël STRILL

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La Sculpture du Sculpteur Français Joël Strill s' épanouit en Chine  Presse

La sculpture du sculpteur Français Joël STRILL s’ est envolée pour la Chine

La sculpture de Joël Strill s’épanouit en Chine

L’artiste vannetais

participe à un concours international de sculpture pour les Jeux olympiques de Pékin en 2008. Depuis un an, sa ‘création est exposée en Chine. Elle s’appelle Le grand écart. Il l’a fait naître d’un tronc de cyprès. Une forme fine, élancée, aux« bras » ouverts et tendus vers le ciel, symbolisant

« l’acceptation »

un nouvel état d’esprit de son auteur. Des bras ? C’est selon. Car la sculpture de Joël Strill est abstraite. Et « non préméditée », ajoute l’artiste vannetais. Non préméditée, parce qu’il travaille au « feeling », instinctivement, et qu’il l’avait réalisée « juste avant ». Juste avant que le Comité international olympique (CIO) le sollicite, il y a un peu plus d’un an, pour participer à un concours international de sculptures en vue des Jeux olympiques de Pékin en août 2008… « C’était un samedi. J’ai reçu un coup de fil d’une dame travaillant au Musée national de Pékin pour le compte du CIO, se souvient Joël Strill.

Elle m’a proposé de créer une sculpture pour les Jeux olympiques…

J’ai d’abord cru c’était une blague ! » Mais non. Alors après quelques jours de réflexion, le sculpteur professionnel se lance. « Je devais proposer un projet qui symbolise l’esprit olympique comme la solidarité, le fairplay… » De Changaï à Pékin… Coïncidence, clin d’ail du destin, la sculpture qu’il avait réalisé en cyprès « correspond à l’esprit du concours ». Joël Strill la propose donc, avec un autre projet.

Des projets, le CIO en reçoit 2 600 de sculpteurs du monde entier,

(« dont celui Fernando Botero, célèbre peintre sculpteur colombien»). Une première commission d’experts en élimine 2 300. Joël Strill fait partie des « rescapés ». A ce stade, il doit livrer un projet « pour le 1er mai 2006 à Pékin ». Sa sculpture de bois est prête. Mais trop fragile pour voyager. Joël Strill décide donc de la reproduire par moulage en résine « époxy » (80 cm de haut). Il la peint en « jaune impérial » (jaune et or mélangés), « couleur forte et positive en Chine ». Cela lui prend un mois de travail. Un délai très court.

Il baptise son œuvre « L’Épanouissement ».

Flowering, en anglais. Comme chacun des 299 autres sculptures présélectionnées, une fois arrivée à bon port, L’Épanouissement est dupliquée en trois exemplaires… Et voyage. S’expose dans les grandes métropoles chinoises, de Changaï à Pékin, de Macao à Canton.., puis dans d’autres villes « moyennes ». Et cela fait un an que ça dure ! L’Épanouissement s’épanouit en Chine… Et son auteur aussi, ici à Conleau où il est installé depuis 14 ans. Même s’il se demande bien jusqu’où cette aventure artistique va le mener. « Nous attendons qu’une commission« élimine »200 sculptures,, avant de retenir les 29 lauréates à l’automne », explique-t-il. Ces 29 œuvres seront réalisées en grand format pour être exposées sur les différents sites des Jeux olympiques de Pékin… Joël Strill vit tout ça de loin, serein.

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